« Mon trésor à qui saura le prendre ! » Tels furent les derniers mots du pirate Olivier Levasseur, plus connu sous le nom de La Buse, à l’heure de son exécution le 7 juillet 1730 sur l’île Bourbon, et alors qu’il venait juste de lancer dans la foule un mystérieux message crypté. Mais le fabuleux butin n’a jamais été retrouvé, et ce, bien qu’il ait largement de quoi susciter les fantasmes : rivières de diamants, perles, bijoux, lingots d’or et d’argent, meubles, objets de culte et tissus précieux, vases sacrés… dont une grande partie proviendrait de la célébrissime prise de la Vierge du Cap et serait estimée par les historiens à des millions, voire des milliards d’euros, ce qui en fait l’un des plus gros trésors de l’histoire de la piraterie.
Bon nombre de chercheurs de trésors se sont lancés sur la trace du trésor de La Buse, sans grand succès jusqu’à maintenant. Mais l’énigmatique cryptogramme qui a été entièrement retranscrit par Charles de La Roncière dans son ouvrage Le Flibustier mystérieux (et récemment réédité dans notre Petite Anthologie des histoires de trésors), n’a pas fini de livrer ses secrets… Vous aussi, essayez-vous à son interprétation en relisant le chapitre consacré à La Buse dans le livre de Robert Charroux, Trésors du Monde, et rêvez au butin de cette figure mythique de la piraterie avec Patrick et Emmanuelle Lizé et leurs Naufrages de légende !
